

#Gay rage comics series
Because this hate crime is a charged element within the soap opera framework of the series and within its political discourse, it is hardly surprising that it is taken up in a series of inset remediations 2: Brian, Justin’s lover and helpless witness to the attack, is remediated into the superhero Rage and the series itself into the Rage comics, floorshow, and storyboard. 3 See Simone Murray, “Brand Loyalties: Rethinking Content Within Global Corporate Media,” Media Cultu (.)ġ This paper shall examine how recurrence functions diegetically within the series Queer As Folk 1 (Showtime, 2000-2005), and how the reprising of one major event – the gay-bashing of Justin, the cliffhanger Season 1 ends on – structures the narrative.2 Jay David Bolter and Richard Grusin defined the concept of “remediation” in their groundbreaking st (.).

Je soutiendrai que la remédiation permet à la série d’articuler des messages subversifs, à la fois en soulignant le message sous-jacent queer dans les grands genres de culture populaire établis (BDs, films d’action et de super-héros) et en soulignant la réussite singulière de la série, au-delà de la création d’un héros de BD gay « out » : la queerification du soap en soi. Cette intermédialité peut être lue comme une forme d’hypertexte et de narration multiplateforme, ainsi que l’image métatextuelle de la série pour elle-même. Comme un élément sensible dans le cadre soap opera de la série et dans son discours politique, cette violence est reprise dans une suite de remédiations (BDs, spectacle théâtral, story-board à un film hollywoodien et des courtes séquences de film animé). Cet article examine comment la récurrence fonctionne dans la diégèse de la série Queer as Folk (Showtime, 2000-2005) et comment des variations sur le même événement - la violence anti-gay vécue par Justin - sont délibérément incorporées au récit.
